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Préparer Son Dossier

Le mode d’admission en France pour les études de kinésithérapie a été modifié en 2020, avec principalement 2 voies : la voie PASS (Médecine) et la voie L.AS (Voie Licence, notamment STAPS).Mais pour de nombreux étudiants français, ils sont chaque année en partance pour la Belgique, où la sélection se fait par …. tirage au sort !

Une Sélection Par Tirage Au Sort :

Depuis 2006, les étudiants français sont filtrés.

En effet, à cette époque, le gouvernement Belge constatait une migration importante des étudiants en Belgique afin de ne pas passer par le système très sélectif français (Médecine, Concours) et plus de 85% des étudiants revenaient en France une fois le diplôme obtenu.

Un quota a été mis en place pour limiter à 30 % la proportion d’étudiants “non résidents”

Mais il faut savoir que quand toutes les places disponibles ne sont pas occupées par des étudiants de belgique, certains établissements peuvent accepter des étudiants non résidents au-delà de ces quotas.

Finalement, seulement un peu moins de la moitié d’entre-eux (45% exactement) sont acceptés puisque, au total, 1628 places étaient disponibles. Sept personnes ont par ailleurs été écartées puisqu’elles se sont présentées dans différentes filières, ce qui est interdit.

Déception pour les nombreux étudiants français candidats à  l’exil. Dans certaines filières, notamment celles de la santé, nombreux sont ceux qui se tournent en effet vers la Belgique pour éviter les classes préparatoires françaises.

Quelques statistiques intéressantes sur les nombres de places pour la rentrée 2022 .
  • 1670 Dossiers Déposés En 2022
  • 717 Étudiants Français Au Total Acceptés
  • Un Taux D’admission Qui Oscille Entre 17 Et 47 % En Fonction Des Écoles

Modalités D’admissions

Avant toute chose il faut savoir qu’il y a un numerus clausus limitant l’accès à la profession en Belgique.

C’est à dire que les étudiants réalisent 4 années d’études puis passent un concours pour obtenir un « numéro d’INAMI » (numéro qui permet d’exercer et aux patients de se faire rembourser.) Si les étudiants retournent travailler en France, ils n’ont normalement pas besoin de passer ce concours.

Deux Types D’écoles



Il existe deux types d’écoles formant les kinés. Les universités et les Hautes écoles .

Les universités ont un programme beaucoup plus théorique et son mieux formés à la recherche en kinésithérapie.

Les Hautes écoles quant à elles ont une approche beaucoup plus pratique de la kiné avec des stages dès la première année. Beaucoup plus d’heures mais de pratique avec une très bonne connaissance scientifique aussi.

Pour Les Français

Depuis 2006, les étudiants français sont filtrés :

Finalement, seulement un peu moins de la moitié d’entre-eux (43% exactement) sont acceptés puisque, au total, 1685 places étaient disponibles. Sept personnes ont par ailleurs été écartées puisqu’elles se sont présentées dans différentes filières, ce qui était interdit.

Déception pour les nombreux étudiants français candidats à l’exil.

Dans certaines filières, notamment celles de la santé, nombreux sont ceux qui se tournent en effet vers la Belgique pour éviter les classes préparatoires françaises.

Le nombre de candidats étrangers étant plus de deux fois plus important que le nombre de places disponibles, il a donc fallu organiser un tirage au sort.

Certaines disciplines ont pu y échapper comme la podologie, l’ergothérapie ou plusieurs formations d’éducateurs spécialisés mais dans les filières kinésithérapie ou celles pour devenir vétérinaire, la sélection a été plus rude (respectivement un tiers et moins d’un cinquième des candidats pris selon le journal belge La Dernière Heure).

Actuellement, pour les étudiants français s’étant présentés, et notamment pour ceux venus du Nord Pas-de-Calais et de la Picardie (assez représentés dans le nombre total de prétendants français), les universités belges affichent les résultats fin août-début septembre.

Chaque établissement offre un nombre limité de places pour les « non-résidents belges », se limitant à 30 % maximum de la totalité des places disponibles.

Ne sera pas considérée comme première inscription et donc ne sera pas soumise au quota :

•l’inscription d’un étudiant non-résident, en haute école, dans l’une des années du bachelier de kinésithérapie, alors qu’il a déjà suivi une année d’études en kinésithérapie, à l’université ;

•l’inscription d’un étudiant non-résident, en université, dans l’une des années du bachelier de kinésithérapie, alors qu’il a déjà suivi une année d’études en kinésithérapie, en haute école;

Il y a de cela quelques années, la voie Belge pour devenir masseur-kinésithérapeute était devenue une évidence pour les étudiants ne voulant pas passer par le sytème français d’admission.

Depuis peu, le système Belge d’admission s’est compliqué et pour devenir kiné, il faut parfois suivre le parcours du combattant :

Plusieurs Cas Différents :

Cas N°1 (le plus simple) : Etudiant sortant de Terminale avec son BAC ou une équivalence à  demander à  passer, il suffit en général d’écrire une lettre de motivation et de fournir un dossier (bac, photocopie de la carte d’identité). Ensuite, un tirage au sort est effectué parmi les étudiants étrangers (comme au loto) et seulement 45% est admis à  entrer en 1ère année . (environ 1700 places / année)

Cas N°2 : Etudiant ayant raté par exemple deux années de suite sa 1ère année de médecine en France : dans ce cas là , ça se complique, on parle « d’étudiant Finançable » : un étudiants est considéré comme « non finançable » ou bien non admissible, si l’étudiant a suivi deux premères années d’études supérieures, en sachant que dans certaines écoles belges, une année de prépa-kiné est considéré comme une année d’étude supérieure !! Les textes des lois ne sont pas très clairs à  ce sujet, et il est vrai que chaque école applique + ou – les lois (contactez les et demandez directement). Pour pouvoir rentrer tout de même dans le « circuit » de formation kiné, l’étudiant peut tenter par un autre secteur lié à  la médecine, par exemple, rentrer en 1ère année de STAPS (sport) et ensuite demander une équivalence pour revenir en kiné et le statut « non finaçable » saute.

Cas N°3 : Etudiant sortant de Terminale, ou n’ayant fait qu’une année d’étude supérieure mais n’étant pas admis en 1ère année à  cause du tirage au sort : une solution est possible, depuis peu, l’état belge considère qu’un étudiant français travaillant 15 mois en Belgique n’a plus besoin de passer par le système de tirage au sort.

  • 1670 Dossiers Déposés En 2020
  • 717 Étudiants Français Au Total Acceptés
  • Un Taux D’admission Qui Oscille Entre 17 Et 47 % En Fonction Des Écoles

S’inscrire :

La procédure d’inscription est la suivante :

En général, avant le 15 juillet, il faut faire une demande d’équivalence du baccalauréat français et pendant une période de 3 jours en août, il est demandé à l’étudiant de déposer personnellement sa demande d’inscription dans l’établissement choisi, Haute Ecole ou Université (l’étudiant ne peut se présenter qu’auprès d’une seule institution et pour un seul cursus visé par le décret).

Il faut pour l’étudiant la preuve écrite de demande d’équivalence du baccalauréat français, la preuve du paiement des frais couvrant l’examen de la demande d’équivalence du baccalauréat français, une copie certifiée conforme du document d’obtention du baccalauréat français. 
Ensuite, dans les premiers jours de septembre, il y a un tirage au sort des étudiants non-résidents admis (pour 30 % des capacités d’accueil) pour finalement avoir la confirmation de l’inscription auprès de l’établissement d’accueil.

La dernière chose à  savoir est que les études de kiné en Belgique se déroulent sur 4 ans comme pour la France.

S’inscrire :

La procédure d’inscription est la suivante :

En général, avant le 15 juillet, il faut faire une demande d’équivalence du baccalauréat français et pendant une période de 3 jours en août, il est demandé à l’étudiant de déposer personnellement sa demande d’inscription dans l’établissement choisi, Haute Ecole ou Université (l’étudiant ne peut se présenter qu’auprès d’une seule institution et pour un seul cursus visé par le décret).

Il faut pour l’étudiant la preuve écrite de demande d’équivalence du baccalauréat français, la preuve du paiement des frais couvrant l’examen de la demande d’équivalence du baccalauréat français, une copie certifiée conforme du document d’obtention du baccalauréat français. 
Ensuite, dans les premiers jours de septembre, il y a un tirage au sort des étudiants non-résidents admis (pour 30 % des capacités d’accueil) pour finalement avoir la confirmation de l’inscription auprès de l’établissement d’accueil.

La dernière chose à  savoir est que les études de kiné en Belgique se déroulent sur 4 ans comme pour la France.

Témoignages :

 » Je m’appelle Fabrice, avant de me lancer dans les études de Kiné, j’ai réalisé une licence en STAPS en France. J’ai ensuite choisi de me diriger en Kinésithérapie. J’ai choisi de faire mes études en Belgique car les modalités pour introduire une école de formation en France étaient bien trop compliquées et sans certitudes de réussite.

Je me suis basé sur mon expérience personnelle pour tenter de décrire le plus fidèlement possible le déroulement des études en Belgique. Je m’excuse d’avance si mes infos sont pas toujours très claires, ce n’est pas évident du tout. N’hésitez pas à  contacter les différents organismes de formation (universités et écoles) ils vous donneront une mine d’informations supplémentaires et propres à  leur institut.

En Belgique, et particulièrement en communauté française (Wallonie) il y a 2 instituts de formation : les universités et les Hautes écoles.

En Wallonie, il existe 3 universités proposant la formation en kinésithérapie :

1.L’université Libre de Bruxelles (ULB) ;

2.L’université catholique de Louvain-la-neuve (UCL);

3.L’université de Liège (ULG).

Ces universités proposent une formation en français et prépare à  un Master de Kinésithérapie-réadaptation. 
Moi –même, j’ai réalisé mon parcours (qui se termine au mois de juin) à  l’université de Liège.

Les Hautes-écoles (exemple : école André Vésale à  Liège connu sous le nom de Barboux) prépare au même diplôme mais les conditions d’enseignement et les principes sont quelque peu différents de ceux de l’université. Mais ayant effectué mes études à  l’université, je ne connais pas les modalités exactes.

Actuellement, que ce soit en haute-école ou à  l’université, la formation s’étale sur 4 ans : Master 1. 
A la prochaine rentrée, dans certaines institutions (je ne les connais pas), il sera possible de réaliser une 5ème année (Master 2) étant plus spécialisante dans un domaine (Kinésithérapie du sport, neurologie, …) A terme, cette 5ème année sera obligatoire. Tout ça est en cours de changement.

A l’université, la première année est très théorique et ressemble à  l’année de prépa en France avec essentiellement de la Chimie, de la Physique, et de la biologie. 
La deuxième année s’intéresse d’avantage à  la kinésithérapie. 
La troisième année et la quatrième année sont d’avantages pratique avec notamment la réalisation de stages. La dernière année est ponctuée par la réalisation d’un mémoire.

Ce mémoire est sensiblement différent de celui réalisé par les étudiants en kinésithérapie en France. En Belgique, il s’agit de réaliser une étude de type scientifique en rapport avec des techniques de kinésithérapie (exemples : évaluation des effets d’un entraînement de la force des muscles respiratoires chez le patient BPCO, ou encore avantages et inconvénient de l’isocinétisme par rapport à  un renforcement classique…)

Il semblerait lorsque l’on compare les formations dispensées en haute-école ou à  l’université que les universités ont une approche plus théorique, scientifique que les hautes écoles qui seraient plus « pratique ». Il ne s’agit ici que de spéculations s’appuyant sur les avis de différents étudiants issues de différentes formations. Rien n’a été vérifié.

Actuellement, pour faire ces études en Belgique, il faut participer à  un tirage au sort. En effet, selon le nombre d’étudiants belges inscrits, 30 % d’étudiants français seront sélectionnés. Je ne connais pas les modalités exacts du tirage au sort. Pour avoir des informations plus précises, je vous conseille de contacter directement les instituts de formation concernés.

Une fois le diplôme obtenu, le retour en France est assez simple nécessitant cependant une demande d’équivalence de diplôme (la durée d’obtention de cette équivalence variant entre 3 et 6 semaines à  priori).

Quant à  l’ambiance, je ne parlerais que de celle de Liège ne connaissant pas les autres villes. Les belges sont des gens très accueillants, ouverts et très fêtards !!!!!
L’ambiance est garantie !

Un dernier qui me semble important est de ne pas sous-estimer les études en Belgique. On entends souvent (moi le premier) que les études de Kiné en Belgique sont plus simples. Attention ! Certes, l’accès à  la formation est plus simple qu’en France puisqu’il n’y a pas de concours mais la sélection se fait principalement lors de la première année. L’avantage est que si on bosse on est récompensé !!

Pour ma part, je ne regrette pas mon choix et je le conseille vivement. De plus, il semblerait que lors de la recherche d’emploi en France (que j’ai commencé depuis quelques semaines), les étudiants issus de formations belges sont bien vus car cette formation belge aurait une très bonne réputation….

Je reste à  votre entière disposition pour de plus amples informations.

Bonne continuation,

Fabrice. « 

 » En Belgique les études durent 4 ans avec suivant les lieux de formation des stages dès la 2eme année ( plutot le cas pour les Hautes Ecoles ( formation plus technique ) et à  partir de la 3eme année pour les universités ( formation théorique plus large qu’en Hautes Ecoles ).
Suivant les lieux de formation il va y avoir certaines spécificités, par exemple à  l’UCL ( université catholique de Louvain La Neuve ) le sport est une discipline obligatoire pendant les 2 premières années du cursus.
Les 4 ans de formations s’échelonnent de la façon suivante : 3ans pour obtenir le grade de bachelier (bac+3 équivaut à  la licence ) et un an supplémentaire qui correspond au master 1 cela suffit pour être diplomé master en kinésithérapie et réadaptation. 

Prêt à  partir à  l’aventure au pays des frites, du chocolat, et de la biere 😉 Alors il est très important avant toute chose de demander une équivalence du Bac avant le 15 juillet, pour cela il faut s’adresser à  bruxelles service des equivalences : http://www.equivalences.cfwb.be/accueil.asp

Ensuite en attendant que la paperasse se fasse il faut choisir le lieu de formation, naviguer sur les differents sites universitaires www.uclouvain.be, www.ulb.be, www.ulg.ac.be, et pour les Hautes écoles ( je connais pas mais toutes les coordonnées sont sur la page : http://www.kine-services.com/kine-services/kine_belge_ecoles.php )

Pour choisir parmi tous ces lieux, regarder le programme d’étude qui vous correspond le mieux par exemple une personne sportive sera très bien dans la formation de l’UCL car le sport lui permettra alors de gagner quelques points de moyenne 😉 au contraire si le sport c’est l’horreur alors il faut éviter l’UCL ! Se renseigner aussi au niveau des localisations précises afin de savoir où vous êtes susceptible de tomber.

Une fois ( ça y est je parle belge :p ), l’équivalence reçu il est necessaire de remplir le dossier d’inscription. Pour cela, il faut faire attention, ne pas avoir effectuer deux ans dans un cycle medicale ou paramedical et avoir echouer ( c’est à  dire ne pas avoir passer l’année au dessus, ou pour les prepas ne pas s’être présenté au concours et/ou avoir abandonné )
Le dossier devra être déposé en mains propres lors des 3 jours ( fin aout ) décidé par l’école ou l’université où vous souhaitez étudier. 

Ensuite il faut attendre sagement….le tirage au sort mais surtout le resultat !!! Il y aura 30% de français tirés au sort ( 30% sur le nombre total d’étudiants de l’an passé dans la section) J’ai entendu dire que certaines écoles ne remplissent pas leur quotat mais pour savoir ça il faut se renseigner auprès des Hautes Ecoles après les dates de resultats de tirage au sort. Il n’y a que certains chanceux !!!

Pour les staps, il y a encore certaines écoles qui permettent la passerelle pour rentrer en 2eme année si vous avez une licence ou maitrise cependant cette année sera alors très studieuse puisque vous devrait faire les cours specifique de 1ere année et le programme normal de 2eme année ( il faudra s’accrocher).

Durant les études en belgique le minimum requis pour passer à  l’année superieure c’est 12/20 et attention il ne doit pas avoir de notes en dessous de 10 ( avec certaines exceptions suivant les lieux de formations, les élèves, ..)

Pour ce qui est de la vie estudiantine, cela va dependre de l’endroit où vous êtes. En université il y a des cours en amphi ( auditoire en belge ) et des examen en janvier et juin par contre en Haute Ecole, il y a contrôle continue, examen en janvier et juin et puis les cours sont donnés en classe ( 30-40 personnes environ ). Donc déjà  en fonction de ça certains seront don plus « guindailleurs » ( c’est à  dire fétards ) et d’autres plus serieux….

Le prix des logements étudiants varie pas mal entre un logement communautaire type colocation ( appelé KOT où chacun a une chambre et un comu avec douche, wc, cuisine est dispo pour les 6-10 étudiants du kot ) et sinon appartement à  2,3 étudiants ou le studio…

Pour la rentrée prochaine, il y a des bruits comme quoi les programmes commencent à  changer afin d’étaler les études sur 5 ans mais à  l’heure actuelle il n’y a pas encore confirmation de la mise en place !

Pour le Retour en france, l’équivalence du diplome en s’adressant au MASS ( ministere des affaires sanitaires et sociales )

Le conseil: Adaptation, integration, dans la vie Belge meme si bien sûr nous restons français mais il est important de s’intégrer afin de ne pas provoquer des « conflits » qui sont à  mon goùt stupide. En effet la belgique, la wallonie n’est pas une banlieue française ( serieusement, il n’est pas rare de croiser des français inbus d’eux meme qui trouvent que tout ceux qui est different ici n’est pas NORMAL mais ce qui est logique puisque le NORMAL dont il parle est en partie les habitudes FRANCAISE )
Ils ne font pas tout comme nous, même si y a une langue commune, il y a des differences d’accents et de langages mais aussi tradition auxquelles on se fait vite ;)
->le conseil bis : voir le film « bienvenue chez les ch’ti » comme ça vous vous attendrez un peu à  ce genre de dépaysement!!! »

Pour Les Universités

  • UCL (Louvain) : 330 dossiers déposés, 130 dossiers acceptés soit environ 39% de chance d’être tiré au sort.
  • ULB (Bruxelles) : 280 dossiers déposés, 70 dossiers acceptés soit environ 25% de chance d’être tiré au sort.
  • ULG (Liège) : 150 dossiers déposés, 70 dossiers acceptés soit environ 47% de chance d’être tiré au sort.

Pour Les Hautes Écoles

  • HE2B (Bruxelles) : 220 dossiers déposés, 40 dossiers acceptés soit environ 18% de chance d’être tiré au sort.
  • Ilya Prigogine (Bruxelles) : 175 dossiers déposés, 40 dossiers acceptés soit environ 24% de chance d’être tiré au sort.
  • Vinci (Bruxelles) : 300 dossiers déposés, 85 dossiers acceptés soit environ 29% de chance d’être tiré au sort.

8 réflexions sur « Faire ses études en Belgique »

  1. Bonjour, concernant les différences de taux d’admission notées entre les trois universités (Louvain, bruxelles, liege), ces taux se retrouvent ils chaque année de manière identique ou est ce différent d’une année sur l’autre ? autrement dit, le pourcentage de réussite à Liège est il toutes les années le plus élevé ?
    merci beaucoup pour votre réponse

  2. Bonjour je suis KADI NGOUAMBA prexy Stanel titulaire d’un master professionnel en STAPS j’aimerais intégrer votre master en kinésithérapie pour me spécialisée, je réside au Congo Brazzaville comment faire pour avoir l’admission quel est la procédure à suivre. En attente d’une suite. Cordialement

  3. Bonjour, je suis Belge mais j habite au Luxembourg où je travaille. J ai un master en éducation physique et voudrais reprendre des études de kinésithérapeute. Pouvez vous me renseigner les démarches à faire. Merci d avance

  4. Bonjour,

    Je suis actuellement en 2ème année de Kinésithérapie au Luxembourg. Je souhaiterai m’inscrire au tirage au sort pour intégrer un cursus belge dès l’année prochaine. D’après vous, dans le cas où je suis tiré au sort, me serait-il possible d’intégrer la 3ème année directement par validation d’acquis ? Ou devrais-je refaire une première année ?

    Cordialement.

  5. Bonjour
    Je suis étudiante cette année en PASS en France, si je ne valide pas mon année de médecine PASS, est-ce que je peux déposer ma candidature en Belgique pour kiné ? Est-ce que je serai considéré comme financable ?
    Merci d’avance

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